Union de la Pologne et de la Lituanie

Messieurs,

Suite aux négociations qui ont lieux depuis plusieurs années par nos assemblées, nous aimerions savoir si le Royaume de Lituanie souhaiterait entériner la fusion de nos deux grands pays. Parce qu'un pays fort est un pays uni, face aux dangers qui nous entourent et qui nous oppressent, nous devons faire front.

Nous rappelons les propositions faites:
-un seul et même Etat: le Royaume de Pologne-Lituanie
-un seul et même monarque, de droit héréditaire, ou bien choisi parmi la noblesse de nos Etats si il advenait qu'il n'y ait pas d'héritier. Le monarque serait Roi de Pologne et Grand-Duc de Lituanie.
-une seule armée
-une seule administration
-une tolérance religieuse pour éviter les heurts entre les confessions de nos Etats.

L'union serait contractée par le mariage de la fille du Roi de Pologne avec le fils du Grand-Duc de Lituanie.

Qu'en pensent les représentants Polonais ?

La Pologne se voit heureuse d'avoir reçu cette demande, s'unir avec un pays avec lesquels il y a des pactes depuis plus de 100 ans serait un honneur.

Le roi polonais répondit ensuite :

Avant de proclamer l'union de nos de pays, j'aimerais créer la République des deux Nations

Nous serions unis mais chacun gouvernerait encore ensemble. Jusqu'en 1510. C'est la seule demande que le Roi fait à son ami lituanien.

Très bien, nous ferons selon le bon vouloir du Roi de Pologne.

Nous aimerions néanmoins nous mettre d'accord sur le statut du Duché de Prusse. Nous aimerions soumettre au Roi de Pologne les termes suivant afin que la République des Deux Nations démarre sur des bases saines.

Nous souhaiterions renouveler les clauses du Traité de Thorn de 1466 stipulant que la Prusse Royale est sous souveraineté Polonaise jusqu'à ce qu'elle soit sous celle de la République des Deux Nations, et que le Duché de Prusse est sous Suzeraineté polonaise.
En conséquence de quoi:
-il est interdit à la Prusse d'avoir des relations diplomatiques avec d'autres nations sans en référer à la République des Deux Nations
-une partie de ses revenus doivent aller à la Pologne, 30%.
-le Duché de Prusse devra répondre à l'appel lancé par le souverain Polonais, puis à celui du Roi des Deux Nations, en cas de conflit, en envoyant les troupes demandées.

Nous aimerions entre autre chose promulgué le décret suivant:
Le Roi de Pologne ordonne qu'a la mort du présent Duc de Prusse, le Duché reviendra a la République des Deux Nations et sera administré de droit par la Pologne. En contrepartie, les prussiens pourront avoir des représentants au Sejm au même titre que les autres sujets polono-lituaniens.

Vous me paraissez bien prétentieux, monsieur.
De quel droit dictez vous ceux des peuples vivant en paix autour de votre pays? Pouvez vous justifier?

Mon très cher souverain de Pologne-Litanie,

Je suis forcée de constater que vos ambitions sont bien grandes. La royaume de Hongrie souhaite simplement comprendre d'où vient cette folie de vouloir s'expendre si rapidement et de faire preuve d'agressivité envers vos voisins les Prussiens. Il me semblerait plus prudent de calmer vos ardeurs de mégapole.

J'espère cependant que nos relations diplomatiques seront des meilleures.
Je vous salue

La Reine Marie-Louise de Hongrie.

Aux représentants Russes et Hongrois,

Veuillez tout d'abord recevoir nos hommages les plus sincères. Vos deux pays, nos voisins, sont au cœur même de nos efforts diplomatiques visant à garder la paix dans la région. Vos Etats sont des Etats clé qui pourront nous aider à repousser les hordes venant de l'Est ou du Sud tout comme ils l'ont fait dans le passé.

Nous comprenons vos inquiétudes quant aux propos précédents, et nous allons tenter de dissiper vos craintes. Cette proposition faite au Roi de Pologne ne vise qu'à entériner ce qui existe dores et déjà. En effet, la Prusse est actuellement vassale de la Pologne. Dans l'optique de la future union qui rassemblera nos deux pays sous une même couronne, il est sommes toute normal de rappeler au monde, et votre réaction nous confirme la nécessite de nos propos, en quoi consiste le statu de vassal et quelles dispositions il serait préférable de prendre vis-à-vis de cet Etat.

Nous n'asservissons pas la Prusse puisque nous permettrons à son peuple d'avoir des représentants élus qui auront les même droits que les représentants Polonais ou Lituaniens.

Il serait mal aviser de croire que nous étendons, nous n'avons de prétentions que sur ce qui est plausible et la Hongrie comme la Russie peuvent être confiant à cet égard.

En espérant être parvenu à dissiper le malentendu, veuillez recevoir messieurs, nos salutations.

Tant que le peuple Prussiens et les Germain ne voient pas d'inconvénient à cela, il n'y a aucun problème.
Cordialement,
Le Tsar de Russie.

Nous rappelons que le peuple prussien a choisi en son âme et conscience d'appeler la Pologne pour le libérer d'un joug qu'il l'oppressait, aussi, nous estimons nos propositions parfaitement justes car elles permettront au peuple de ce duché d'être parfaitement intégré à notre Royaume et ce, sans heurt.

En outre, nous aimerions que des spécialistes marchands, judiciaires, agricoles et surtout militaires issues du Duché de Prusse viennent en Pologne et en Lituanie afin de former les élites de ces même domaines ainsi que la future Armée Royale de la République des Deux Nations. Cette opération a pour but de faire rattraper à notre futur Royaume le retard technologique qu'il avait vis-à-vis de ce Duché.

Nous allouons pour l'opération la somme de 1500 Zloty qui servira de paiement aux spécialistes ainsi que de couverture de leurs frais.

La Prusse dit ne pas avoir de temps à perdre avec ces petites demandes.